Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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NDA invité sur Canal+ vendredi 22 janvier

21/01/2010 10:12

NDA invité sur Canal+ vendredi 22 janvier


NDA sera l’invité de la Matinale sur Canal+ le vendredi 22 janvier à 7h25





Ni droite, ni gauche : 40% des Français rejettent ce qui leur apparaît comme un faux clivage

21/01/2010 10:07

Ni droite, ni gauche : 40% des Français rejettent ce qui leur apparaît comme un faux clivage


Vers la fin du clivage gauche-droite
C’est un sondage passionnant que le Cevipof a fait réaliser par la Sofres. Il mesure l’opinion des Français à l’égard des institutions politiques et économiques. Il recèle de nombreuses pépites qui montrent que les ingrédients pour un big bang politique semblent se rassembler.
Un rejet très fort des élites
En effet, si 69% des Français font confiance à leur conseil municipal et 65% à leur conseil général ou régional, 55% ne font pas confiance à l’Union Européenne, 64% à l’Assemblée Nationale, 65% à la présidence de la République et 68% à l’égard du gouvernement. En clair, deux tiers des Français ne font plus confiance aux hommes politiques nationaux. Il faut dire que 78% de la population pense que les responsables politiques se préoccupent peu ou pas du tout de ce qu’ils pensent.
La défiance à l’égard des institutions se retrouve partout. Les Français ne font plus confiance aux banques, ni aux grandes entreprises, qui ne pensent qu’à leur profit. Le constat est sévère et produit une crainte pour l’avenir. Paradoxalement, cette crainte est moins forte pour l’avenir immédiat, où seule une petite majorité relative pense que sa situation va se détériorer, que pour l’avenir plus lointain, puisque 73% des Français pensent que la situation sera moins bonne pour leurs enfants.
Le dépassement du clivage gauche-droite
Mais l’enseignement sans doute le plus intéressant de ce sondage est la démonstration éclatante de la démonétisation du clivage gauche-droite. 67% des Français ne font confiance ni à la gauche, ni à la droite pour gouverner le pays. Seulement 16% font confiance à la droite et 14% à la gauche. Des chiffres dérisoires qui montrent l’étendue de la défiance à l’égard du PS et de l’UMP, qui ne semblent avoir pour mérite que de ne pas avoir encore d’alternative crédible.
Mieux, à peine 25% des Français se classent à gauche ou à l’extrême gauche, 19% à droite ou à l’extrême-droite, alors que 38% se déclarent ni à gauche ni à droite. En poussant un peu plus, 31% se disent « plutôt de gauche », 26% « plutôt de droite » mais 40% « ni de gauche, ni de droite ». Bref, les Français semblent avoir intégré que ce ne sont plus les clivages traditionnels qui ont du sens, même s’ils ne semblent pas encore en avoir trouvé un de substitution.
Mais surtout, comment ne pas voir dans ce sondage une profonde attente de gaullisme ? En effet, le Général de Gaulle refusait le clivage gauche-droite et sa politique serait difficilement classable sur l’échiquier actuel. Le gaullisme a encore de beaux jours devant lui.
Laurent Pinsolle
 





Aujourd'hui dans la presse

21/01/2010 06:40

Aujourd'hui dans la presse


GAËLLE CARON > gaelle.caron@nordeclair.fr

Il mène la danse lors des conseils municipaux. Il a bénéficié d'une tribune libre dans le dernier bulletin municipal. Il siège au sein des commissions finances, travaux et urbanisme, ainsi qu'aux conseils d'administration de la caisse des écoles, du CCAS et même de l'hôpital. Le FN de Steeve Briois, seule force d'opposition à Hénin, n'a jamais été aussi confortablement installé que sous le mandat de Daniel Duquenne, l'actuel maire de la ville, chef de file de l'Alliance républicaine et successeur du très controversé Gérard Dalongeville, assigné à résidence dans les Vosges depuis sa sortie de prison en novembre dernier.
Une situation insupportable pour leurs adversaires politiques communs, à la tête desquels le jeune et ambitieux Pierre Ferrari, contraint, sous la pression de sa maison-mère, la puissante fédération PS du Pas-de-Calais, de se retirer de la partie dans l'entre deux tours de la municipale partielle de juillet dernier. « Les élus FN sont en train de tisser leur toile à Hénin. Ils noyautent tout, ils tiennent les manettes de la mairie et se construisent une légitimité pour le prochain scrutin. Pour moi, il y a clairement une collaboration entre la majorité et l'opposition. C'est inadmissible », soutient Pierre Ferrari, qui n'en revient toujours pas que Marine Le Pen, élue et figure médiatique de l'opposition, ait pu louer la salle des fêtes, le week-end dernier, pour lancer sa campagne des régionales. « En plein centre-ville, devant 400 personnes, c'est du jamais vu ! » Un dîner presque secret À défaut d'obtenir le feu vert de Catherine Génisson, la première fédérale du PS du Pas-de-Calais, pour recréer une section locale, le trublion du PS a fondé « Un nouvel élan pour Hénin », une association politique rassemblant les déçus de la gauche héninoise. Parmi eux, le communiste David Noël, mais aussi Christine Coget, passée de l'Alliance Républicaine au MoDem non sans avoir préalablement essayé de jeter le discrédit sur ses anciens petits copains en braquant les projecteurs sur un dîner qui aurait dû rester à la lueur des chandelles. « Durant la campagne de mars 2008, je me suis rendue, mandatée par Daniel Duquenne, à un repas chez Steeve Briois, où était également présents Marine Le Pen et Georges Bouquillon (membre de l'Alliance républicaine, carté au MRC, actuel adjoint de Daniel Duquenne et président du groupe majoritaire, ndlr). L'objectif de ce rendez-vous était de conclure un pacte de non agression pour le débat télévisé de France 3 », maintient aujourd'hui encore Christine Coget, qui reconnaît avoir « commis cette erreur » dans le seul but stratégique de faire perdre son fauteuil à Gérard Dalongeville. Mais ce dernier réélu, les liens entre les deux partis ne se seraient pas distendus, l'AR allant jusqu'à faire rédiger son recours contre le maire, déposé au tribunal administratif de Lille, par Bruno Bilde, la plume juridique du FN. « Il fallait absolument que Gérard Dalongeville tombe, ce qui a donné lieu deux ou trois fois à une petite entraide mutuelle », confirme Steeve Briois.
Pilier de la majorité en l'absence de Daniel Duquenne, victime d'un AVC en octobre dernier (lire ci-contre), Georges Bouquillon refuse de commenter ces allégations « médisantes » qu'il dément fermement. « Tout ça c'est du cinéma, de la diffamation. Les choses sont claires comme de l'eau de roche : au PS ou au MDC de Chevènement, je n'ai eu de cesse depuis 1974 de lutter contre toutes les formes d'ostracisme. Mes valeurs sont celles, fondamentales, de la République , aux antipodes du FN. » Si elle réfute entretenir des relations étroites avec l'opposition, la majorité reconnaît en revanche qu'elle lui a restitué la place qui lui était due au sein du débat démocratique. « Le FN a obtenu 48 % des voix. Et le fait qu'il soit représenté dans différents conseils d'administration d'organismes publics et commissions, ou qu'il s'exprime dans le bulletin municipal, ce n'est pas pactiser, ce n'est pas un cadeau de l'Alliance républicaine, c'est l'application du droit. » « Ça s'appelle la démocratie » Il faudrait davantage que ces explications pragmatiques pour convaincre leurs détracteurs qu'il n'y a pas d'« acoquinement » entre l'AR et le FN. « Ils sont passés d'une complicité de stratégie à une complicité de pratiques (...) Il est dans l'intérêt du FN d'obtenir, de par ces relations cordiales, un "label" de bonne conduite. Quant à l'AR, elle est allée trop loin pour être désormais en capacité d'assumer », commente le MoDem Patrick Piret. Steeve Briois sourit. « On ne marche absolument pas main dans la main avec la majorité. Les élus de l'opposition sont fermes et déterminés, mais constructifs et écoutés, après avoir longtemps été mis de côté comme des lépreux. N'en déplaise à certains, ça s'appelle la démocratie. »
TOUJOURS PAS DE NOUVELLES OFFICIELLES SUR L'ETAT DE SANTE
REEL DU MAIRE
Victime d'un AVC le 9 octobre dernier, Daniel Duquenne n'a toujours pas repris ses fonctions de maire et les informations officielles sur son état de santé sont verrouillées. Aux dernières nouvelles, il pourrait mettre un pied en mairie samedi. Comment va réellement Daniel Duquenne ? Reviendra, reviendra pas ? À Hénin, la question est sur toutes les lèvres, mais la réponse sur aucune, ou presque... « Il va mieux et j'ai la conviction absolue qu'il va reprendre ses fonctions. Il pourrait même faire un tour en mairie samedi, histoire de se réapproprier doucement les lieux », se contente de dire Georges Bouquillon, son adjoint et ami. Mais cette pseudo révélation n'apprend toujours rien sur l'état de santé du maire. Et l'absence de communication officielle qui entoure son absence prolongée laisse libre cours à toutes les rumeurs sur la gravité des séquelles et surtout donne du grain à moudre à ses adversaires politiques. « Au départ, on nous a parlé de malaise vagal, ensuite on nous a dit qu'il allait revenir en novembre, puis en janvier. On est dans l'opacité la plus totale. Le temps s'écoule, il ne reprend pas ses fonctions et Hénin continue de s'enfoncer », déplore le socialiste Pierre Ferrari, qui s'était désisté en faveur de Daniel Duquenne, non sans amertume, au second tour de l'élection municipale. Hospitalisé une dizaine de jours à Lens après l'accident cardio-vasculaire dont il a été victime le 9 octobre dernier, le maire a ensuite été admis au centre de rééducation d'Oignies qu'il ne quittait dans les premiers temps que le week-end. Aujourd'hui, les séances de kiné seraient encore quotidiennes, mais l'élu de l'Alliance Républicaine a pu regagner son domicile. Maintenant va-t-il pour autant précipiter son retour en mairie ? Une seule certitude : on ne revient pas sur la scène politique après un AVC sans restriction médicale. Et encore moins sur une scène aussi agitée que celle d'Hénin. G.C.
LES AGENTS MUNICIPAUX AU BORD DE LA CRISE DE NERF
Gros morceau du budget de fonctionnement, les agents territoriaux d'Hénin ont l'impression que la nouvelle municipalité veut leur faire porter le chapeau du déficit abyssal creusé sous Gérard Dalongeville. Ils appellent au boycott des voeux. «On était bien conscient qu'il fallait des restructurations et on l'avait accepté, mais pas à n'importe quel prix, pas n'importe comment. La municipalité ne peut pas dégraisser, se débarrasser du personnel et faire des économies sur son dos sans concertation, sans communication. Il y a vraiment un gros malaise », déplore Philippe Martel, le délégué syndical UNSA déjà à l'origine d'une manifestation dans les rues d'Hénin en juin dernier pour « laver la réputation » des agents territoriaux, 626 à ce jour. Liquidation de la régie des pompes funèbres, amputation des indemnités en cas d'absence, mutations internes inexpliquées : les fonctionnaires ont l'impression que la nouvelle municipalité veut leur faire payer les pots cassés par ses prédécesseurs. « Il règne un climat de terreur pour nous pousser vers la sortie. Et franchement, je ne demande que ça : partir dans une autre ville pour avoir la paix », témoigne un jeune agent, attaché à l'anonymat de peur des sanctions. « Nos élus ont choisi la facilité en décidant de s'attaquer à notre porte-monnaie plutôt que de se pencher sur le pourquoi d'un tel taux d'absentéisme. Ont-ils pris la même disposition pour leurs indemnités ? », s'interroge l'UNSA, qui appelle au boycott des voeux au personnel municipal le 27 janvier prochain et n'exclut pas d'organiser une manif le 31 à l'occasion des voeux à la population. « Les gens se sentent visés mais ce n'est pas le cas. Toutes les mutations répondent à des appels d'offre internes, ce qui n'était pas le cas avant. Concernant les retenues indemnitaires en cas d'absence, elles sont la conséquence des abus. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. On a fait le choix de garder tout le monde, mais tout le monde doit faire des efforts », se défend Georges Bouquillon, maire-adjoint en charge des affaires générales et chef de file du groupe majoritaire.G.C.


Commentaire de Anthéa (21/01/2010 06:46) :

Une nouvelle fois, je constate que vous aviez raison lorsqu'il y a quelques mois de celà, vous dénonciez déjà tous ce que Nord Eclair relata aujourd'hui. Continuez et sachez que vous aurez toujours mon soutien !


Commentaire de Wh@t else? (21/01/2010 07:05) :

Là, je suis sans voix......





Double rémunération à 2 M€ pour le patron d’EDF : DLR indigné

21/01/2010 06:22

Double rémunération à 2 M€ pour le patron d’EDF : DLR indigné


  Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République) : "Nous sommes en 1788 : il n’y a pas de pain, mangez de la brioche ! Faites comme M. Proglio, prenez une autre activité, en plus payée par le contribuable, quasiment... On rêve... Cette affaire est symbolique de la dérive morale de notre pays et de ces dirigeants. Je suis outré. Je ne comprends pas comment des gens peuvent se comporter comme cela".





Bruxelles fait la peau aux parfums français

20/01/2010 09:46

Bruxelles fait la peau aux parfums français


Les créateurs de parfums ont la Commission européenne dans le nez

Nicole Vulser, Le Monde, mardi 12 janvier 2009
Ce n’est pas encore la rébellion des nez, mais les créateurs de parfums semblent unanimement agacés par la propension de la Commission européenne à réduire, année après année, la liste des ingrédients autorisés pour leur fabrication. Ce qui menace l’existence même de parfums historiques, dont la composition n’est plus conforme aux normes désormais édictées par Bruxelles.
Dans le cadre de l’autorégulation de l’industrie européenne de la parfumerie, l’International Fragrance Association (IFRA) fait travailler un panel d’experts, de dermatologues, de médecins, de spécialistes de l’environnement... qui définissent le risque de chaque produit pour les consommateurs. Elle publie chaque année, en juin, une liste de produits dont l’utilisation est interdite, restreinte ou très encadrée. La Commission européenne s’en inspire généralement pour adapter la directive relative aux produits cosmétiques.
Depuis longtemps déjà, tous les ingrédients d’origine animale sont bannis - il s’agit du musc, de l’ambre gris, de la civette, du castoréum. Les matières premières potentiellement allergènes sont interdites - comme l’exsudation du baume du Pérou, les dérivés de la coumarine, l’absolu de feuilles de figuier ou l’alcool benzylique. Strictement encadrées ou interdites par l’IFRA, l’essence de géranium, de jasmin, de lavande, l’huile de cade, les extraits de feuilles de thé ne figurent toutefois pas encore sur la liste noire de la directive cosmétique... Quant à l’essence de rose, qu’elle vienne du Maroc, de l’Espagne, de Chine ou de Turquie, la voilà également sur la sellette. "Plus encore que la rose elle-même, les cinq autres ingrédients de cette essence pourraient éventuellement faire l’objet de restrictions", indique-t-on à l’IFRA.
"Notre palette de travail se réduit. C’est un peu comme si on disait à un peintre qu’il n’a plus droit d’utiliser du rouge, puis du bleu ou du jaune...", déclare Frédéric Appaire, directeur marketing international de Paco Rabanne.
Il faut donc trouver un produit de synthèse, de substitution pour retrouver des notes disparues. "Cela diminue le champ des possibles. Les jus bougent en permanence avec la législation européenne", ajoute le PDG d’Interparfums, Philippe Benacin. "Bruxelles va tuer une partie du métier, on n’arrive pas à tout reconstruire à l’identique", déplore Sylvie Polette, vice-présidente marketing des parfums Jean Paul Gaultier. "Cela va pousser la recherche, mais c’est vécu comme une réelle contrainte", ajoute-t-elle.
Carcan
Les plus anciennes maisons de parfums sont les plus pénalisées puisqu'elles doivent adapter les formules de leurs fragrances à l'actuelle législation. "Certains parfums ont été développés parce qu'il n'y avait aucune contrainte pénalisante" explique François Demachy, le nez de Dior. Le plus en guerre contre ce carcan n'est autre que Thierry Wasser, le nouveau nez de Guerlain. "Nous vendons des parfums dont le plus vieux a plus de 150 ans. Si un jour, Bruxelles ne veut plus d'essence de rose, comment pourrais-je faire ? Il y a de la rose dans presque tous nos parfums... C'est un patrimoine à défendre."
Une histoire familiale aussi, puisque M. Wasser assure, avec une candeur délicieusement proustienne, que "Jean-Paul Guerlain (parfumeur historique de la maison) avait créé "Parure" pour sa maman. On a dû l'arrêter, on ne pouvait plus utiliser les ingrédients nécessaires à sa fabrication", déplore-t-il. "C'est un crève-coeur."
Nicole Vulser
 
 





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